Promouvoir l’ETP des patients atteints de cancers digestifs – INCA
Lancé par l’Institut national du cancer
Date limite de dépôt des offres : 2 juin 2014
Lancé par l’Institut national du cancer
Date limite de dépôt des offres : 2 juin 2014
Lancé par l’Institut national du cancer
Date limite de dépôt des offres : 2 juin 2014
Lancé par la Fondation Apicil
Date limite de dépôt des offres : 15 juin 2014 puis 15 octobre 2014
Bernadette Devictor, Présidente de la Conférence nationale de santé, a remis au Ministère des Affaires sociales et de la Santé son rapport sur le Service public territorial de santé (SPTS). Ce rapport est le résultat de travaux réalisés dans le cadre de la préparation de la stratégie nationale de santé, dans l’objectif de réorganiser le système de santé autour de l’usager et de son parcours de santé.
Le projet de SPTS doit développer un « choc de coopération » et un « choc de responsabilisation » au sein du système de santé. Il s’agit d’assurer, au travers d’une organisation contractuelle des acteurs de l’offre de santé, la continuité et l’accessibilité de la santé comme service public. La SPTS doit se développer en réponse aux besoins identifiés à partir d’un « diagnostic territorial partagé ». Le rapport détaille les modalités recommandées pour la gouvernance du SPTS, sous le pilotage des ARS et en cohérence avec les priorités de santé publique des Plans régionaux de santé (PRS).
Quels droits pour les patients en fin de vie ? Dans quel cadre éthique et juridique s’inscrit le processus décisionnel ? Comment et avec qui les décisions relatives aux traitements médicaux, y compris leur mise en œuvre ou leur arrêt, se prennent- elles ? Autant de questions auxquelles ce nouveau guide vise à apporter des réponses. Lire le guide.
Le Guide en bref :
Cadre de référence éthique et juridique dans lequel s’inscrit le processus décisionnel
Le principe d’autonomie : Le respect de l’autonomie commence par la reconnaissance de la légitimité et de la capacité d’une personne à faire des choix personnels. Il est mis en œuvre en particulier à travers l’exercice du consentement libre et éclairé.
Les principes de bienfaisance et de non-malfaisance : Ces principes renvoient à la double obligation du médecin de chercher à maximiser le bénéfice potentiel et à limiter autant que possible le dommage pouvant résulter d’une intervention médicale. L’obligation de ne délivrer que des traitements appropriés et la notion de traitement inutile ou disproportionné susceptible d’être limité ou arrêté sont traitées sous ce chapitre.
Le principe de justice : Le droit à un accès équitable à des soins de santé de qualité appropriée est inscrit à l’article 3 de la Convention sur les droits de l’homme et de la biomédecine. L’équité signifie d’abord l’absence de discrimination.
Le processus décisionnel
Les acteurs du processus décisionnel : le patient, son représentant, les membres de sa famille et les autres soutiens d’une part ; d’autre part, les soignants.
Le processus délibératif et la prise de décision : Le patient est toujours au centre du processus décisionnel. Le processus décisionnel prend une dimension collective lorsque la personne ne veut pas ou ne peut pas y participer directement. Cette partie du guide détaille les différentes phases du processus décisionnel en fin de vie.
Conclusions
Le processus décisionnel devrait notamment faire l’objet d’une information des usagers de santé et d’une formation des professionnels de santé.
Pour accompagner les associations dans l’évolution de leurs modèles socio-économiques, Le Mouvement associatif publie une typologie de modèles de ressources financières des associations. Fruit d’un groupe de réflexion multi partenariale réunissant depuis 2009 dix structures associatives d’accompagnement des associations, cette typologie vise à aider les instances de pilotage associatif à faire les choix pertinents et apprécier la cohérence des différentes ressources mobilisables selon les priorités de l’association, son identité et son mode d’organisation.
Télécharger la Typologie de modèles de ressources financières des associations / CPCA
Signe de reconnaissance de l’ensemble de l’activité bénévole en France, le champ de la médaille de la Jeunesse et des Sports est désormais étendu, pour la première fois à tous les acteurs de la vie associative, en vertu d’un décret publié ce matin au Journal Officiel. Consultez le communiqué dans son intégralité sur le site du ministère
Pour Valérie FOURNEYRON : « Le bénévolat est le résultat d’une implication personnelle, libre et volontaire au service de l’intérêt général. Il constitue le socle indispensable à la dynamique associative. Les bénévoles apportent une contribution irremplaçable à la vie démocratique, à la cohésion sociale et à la richesse économique. Ils méritaient une reconnaissance collective et individuelle pour leur générosité, leurs solidarité, leur engagement auprès de nos concitoyens, dans leur vie quotidienne, et en particulier auprès des populations les plus fragilisées. C’est désormais chose faite. » […]
Le CLAP Midi-Pyrénées vous propose cette INFORMATION COLLECTIVE :
Principes, spécificités du statut, missions, jeunes et structures, accompagnement du volontaire, demande d’agrément…
Intervention de Sylvie CAMMAS – Déléguée Départementale à la Vie Associative – Correspondant départemental pour le Service Civique.
La participation est gratuite, ouverte à tous, sans inscription préalable.
Rendez-vous donc le mercredi 14 mai de 9h à 12h au Centre Social de Bellefontaine – Espace Enfance Famille Claude Nougaro – 3 impasse Foulquier – 31100 TOULOUSE (métro station Bellefontaine, ligne A)
Pour plus d’informations, contactez Sophie au CLAP MP : 05 62 27 50 48 s.chevalier@clapmp.com
La MAIF propose sur son site des modèles et formulaires pour la gestion des associations. Modèles et formulaires.
La circulaire n°sg/dgos/2014/96 du 31 mars 2014 fixe les modalités de mise en œuvre du fonds d’intervention régional en 2014. Lire le document
Elle précise en particulier :
L’annexe 1 de cette circulaire détaille les orientations nationales pour chaque mission financées par le FIR, en particulier les missions
Missions 2 et 3 : amélioration de la qualité et de la coordination des soins et de la répartition géographique des professionnels de santé, des maisons de santé, des pôles de santé et des centres de santé :
Mission 6 : prévention des maladies, promotion de la santé, éducation à la santé et sécurité sanitaire
Mission 7 : mutualisation au niveau régional des moyens des structures sanitaires
Mission 8 : prévention, prise en charge et accompagnement des handicaps et de la perte d’autonomie
Réponse